Whatever works

Whatever works. "l'important c'est que ça marche".

C'était cette impression de coquille vide qui la poussait à se demander si ses actions n'étaient pas contre nature. Fallait il continuer à courrir ainsi les yeux bandés en faisant semblant de ne pas croire aux précipices ? L'overdose de bétises lui avaient donnés à réfléchir sur la condition de sa vie sentimentale cahotique.  l'Idéal masculin tant recherché s'était révélé être un prisme nauséeux qui n'apporte à termes aucun vrai bonheur. Elle savait maintenant qu'il n'y a rien derrière l'apparence lisse des gueules d'anges. Qu'on y trouve que de la poussière usagée, de ceux qui ne savent pas regénérez leurs âmes. Elle avait comprit qu'ils fallait creuser ailleurs, Là où les autres ne savaient pas regarder. C'était cette vision particulière qui faisait, qu'elle avait souvent l'impression, d'être la seule à percevoir la beauté des gens hors du commun. Des personnes qui ne sont pas standard au monde et qui, pourtant, rayonnent de l'interieur. Pour voir ces ampoules de vie il fallait savoir passer au dessus du mur immense qu'on nomme communément : "préjugés", "apparence" ou "moeurs". Pour comprendre ses détails, il fallait prendre sur soi et se découdre les yeux.

Et croyez moi après cet instant, à chaque fois qu'on ouvre les yeux,
on se reproche un peu plus du bonheur.
whatever Works.